Chaque année, aux alentours du 11 janvier, plusieurs arts martiaux et Dojos ont pour tradition de célébrer le Kagami Biraki pour souligner le premier entraînement de la nouvelle année.
C’est en tout cas une habitude qu’a prise mon club de Karaté et nous nous retrouvons ainsi tous les ans dans un grand gymnase pour nous entraîner avec l’ensemble des membres affiliés à la même branche que nous, à savoir Seidokai. L’occasion aussi d’assister à quelques démonstrations de Karaté et surtout de trinquer au Saké, manger du Mochi ou encore boire la traditionnelle soupe Ozoni!
C’est Jigoro Kano, créateur du judo, qui adopte cette tradition pour la première fois en 1884. Elle s’est depuis étendue à l'Aïkido, au Jiu-jitsu et au Karaté.
C’est en tout cas une habitude qu’a prise mon club de Karaté et nous nous retrouvons ainsi tous les ans dans un grand gymnase pour nous entraîner avec l’ensemble des membres affiliés à la même branche que nous, à savoir Seidokai. L’occasion aussi d’assister à quelques démonstrations de Karaté et surtout de trinquer au Saké, manger du Mochi ou encore boire la traditionnelle soupe Ozoni!
C’est Jigoro Kano, créateur du judo, qui adopte cette tradition pour la première fois en 1884. Elle s’est depuis étendue à l'Aïkido, au Jiu-jitsu et au Karaté.
Kagami Bira...koi?
Il s’agit a l’origine d'une cérémonie shintoïste durant laquelle on brise le couvercle d’un grand tonneau de Saké et on s'échange des Kagami Mochi (gâteaux de riz décorés et surmontés d’une orange amère ou d’une mandarine)
Les Kagami Mochi sont eux aussi brisés à l'aide d'un maillet pour être ensuite mangés.
Cette tradition a été introduite il y a plus de 300 ans par le shogun Tokugawa, quatrième du nom, qui un jour brisa le couvercle d’un grand tonneau de Saké pour le partager avec ses seigneurs de guerre à la veille d’une grande bataille. Ils remportèrent la victoire: la tradition était née!