Au Québec, les dépanneurs sont de petits commerces où l'on trouve tout ce qu'il faut pour dépanner à la dernière minute : du lait, des boissons, des collations, des magazines parfois douteux, et même des billets de loterie. En somme, presque tout ce qu'on trouve dans un bon convenience store au Japon ! Comme au Japon d'ailleurs, il existe aussi de grandes chaînes bien établies, la plus connue étant Couche-Tard, qui domine le paysage avec son enseigne emblématique d'un hibou à moitié endormi.
Apparus dans les années 1970 pour répondre aux besoins urgents des résidents locaux, ces commerces de quartier se sont modernisés au fil du temps. Si les petits indépendants se font plus rares aujourd'hui, en grande partie à cause de l'expansion de chaînes comme Couche-Tard dans les années 1980, certains dépanneurs ont su préserver leur charme d'antan.
Bref, au Québec, on va au dépanneur pour calmer une fringale nocturne ou réparer un oubli de dernière minute. Pour faire réparer son vélo ou son auto en revanche, on ira rouler ailleurs (ou marcher, en ce qui me concerne !).
Apparus dans les années 1970 pour répondre aux besoins urgents des résidents locaux, ces commerces de quartier se sont modernisés au fil du temps. Si les petits indépendants se font plus rares aujourd'hui, en grande partie à cause de l'expansion de chaînes comme Couche-Tard dans les années 1980, certains dépanneurs ont su préserver leur charme d'antan.
Bref, au Québec, on va au dépanneur pour calmer une fringale nocturne ou réparer un oubli de dernière minute. Pour faire réparer son vélo ou son auto en revanche, on ira rouler ailleurs (ou marcher, en ce qui me concerne !).